Présentation de la fillière bois de la DOC vers 1950
Au tout début des années 1950, jacques Baraton qui tient commerce de photographe et de film place Saint Médard propose ses services aux entreprises pour réaliser ce que nous dénommons acutellement des films "corpporate". Dans ce long format muet en noir et blanc, appuyé par un scirpt assez élaboré dans le qule interviennent principalement les ouvrier de la DOC et au moins un acteur (le paysan qui vend ses arbres), l'auteur narre aux spectateurs le cycle de vie du peuplier, choisi, récolté, débité puis transformé en contreplaqué, en cagettes ou en pannier. Au delà de l'aspect narratif, Jacques Baraton s'essaye à l'humour et au trucage dans une scène qui n'est pas sans rapeller le style d'un certain Mélies qui l'a certaienment influencé. D'ailleurs le "père jacques" comme le dénomaient les Thouarsais avait avec l'un de ses fils tourné un remaque d'une scène célèbre d'un film de Mélies ou un magicien fait sortir une tête d'homme d'un chapeau.